François Picaud : le Rapport (L'Aventure Picaud t. 1) (French Edition) [Kindle-editie] beoordelingen het boek quotes

François Picaud a livré à son corps défendant, l'histoire exceptionnelle de sa vie, au couple Alexandre Dumas et Auguste Maquet qui en ont créé le roman d'exception : le Comte de Monte Cristo. Mais qui est ce François Picaud ? Quelle est donc cette affaire du Diamant et de la Vengeance ? Quelles sont les grandes erreurs commises par les commentateurs du dossier de Police ?... et bien d'autres choses vous sont partagés ici. Dans "François Picaud : le Rapport", vous trouverez le texte originel issu des archives de la Police, vous trouverez entre autre une comparaison avec la version d'Alexandre Dumas, vous rirez avec nous sur ce que l'on dit de Picaud sur le Web, et découvrirez bien d'autres choses. Lisez ce petit livre de 60 pages afin de tout savoir sur l'affaire Picaud du Diamant et de la Vengeance. Sur le dos du livre vous retrouverez ce texte qui m'est cher : Cher Monsieur Picaud, Cher ami, Que n’aurais-je donné, pour une chance d’échanger avec vous ? Que n’aurais-je offert pour en savoir plus sur vos pensées les plus intimes pendant vos moments les plus difficiles ? Que n’aurais-je payé pour partager vos épisodes de vie les plus dramatiques : ceux de votre arrestation, votre interrogatoire, vos échanges avec les autorités de l’Empire ? Oui ! J’aurais payé très cher pour vous entendre me conter vos aventures, connaitre dans le détail vos anecdotes vécues pendant ces sept années d'emprisonnement au fort de Fénestrelle. Nous aurions pu ensemble co-signer votre biographie et de votre expérience nous en aurions fait un roman, un scénario, un film, un documentaire, et bien d’autres choses encore. Co-signer un ouvrage avec un «revenant», cela aurait été des plus cocasse. Cela aurait constitué une première dans l’histoire de l’humanité. Que n’aurais-je sacrifié pour mériter votre confiance, pour que, revenant du fin fond de ce 19ème siècle de toutes les peurs, les espoirs, les crimes, nous conversions comme deux vieux amis et que vous m’avouiez vos responsabilités, vos innocences, vos complicités, vos compromissions, vos crimes, votre rédemption ? Nous aurions ri, pleuré ensemble et j’en aurais acquis la conviction que derrière cet homme, dont la vie fut si violente, se cachait une âme ni plus coupable ni plus sainte qu’une autre, mais qui, perdant confiance dans les institutions de son époque, a décidé de se faire justice lui-même. À vous revoir en songe, Monsieur Picaud, à vous revoir...