François Picaud : l'Enquête (L'Aventure Picaud t. 2) (French Edition) [Kindle-editie] beoordelingen het boek quotes

Si, dans "François Picaud : le Rapport" (64 pages), vous trouvez tous les éléments nécessaires à la compréhension du drame vécu par Picaud, incluant le texte officiel issu des archives de la Police, les erreurs commises par les commentateurs de cette histoire exceptionnelle, la comparaison avec le texte de référence d'Alexandre Dumas (et ses erreurs), et bien d'autres choses ; dans "François Picaud : l'Enquête" (158 pages) nous allons bien plus loin : nous approfondissons dans le plus grand détail, l'itinéraire de vie de Picaud. De son enfance (Picaud serait né en 1781) jusqu'à sa mort en passant par ses fiançailles, son incarcération, sa libération, son héritage, sa vengeance implacable, jusqu'à sa disparition, nous vous livrons plus de 167 notes de travail fournissant près de 700 questions constituant les éléments indispensables à la recherche du trésor de Picaud. Oui, Picaud comme le Comte de Monte Cristo (Dumas a utilisé l'histoire de Picaud afin d'en créer son roman emblématique) a hérité d'un trésor fabuleux offert par un bienfaiteur et ami, co-détenu de la prison de Fénestrelle. Mais où donc se cache ce trésor ? "François Picaud : l'Enquête" est construit de telle manière à fournir le fil rouge nécessaire à la réalisation du documentaire "La Traque ! sur les traces du trésor de François Picaud" dont vous trouverez tous les détails sur le site : http://picaud.org . Au dos du livre, vous trouverez ce texte qui résume mon lien particulier à Picaud : Cher Monsieur Picaud, Cher ami, Que n’aurais-je donné, pour une chance d’échanger avec vous ? Que n’aurais-je offert pour en savoir plus sur vos pensées les plus intimes pendant vos moments les plus difficiles ? Que n’aurais-je payé pour partager vos épisodes de vie les plus dramatiques : ceux de votre arrestation, votre interrogatoire, vos échanges avec les autorités de l’Empire ? Oui ! J’aurais payé très cher pour vous entendre me conter vos aventures, connaitre dans le détail vos anecdotes vécues, pendant ces sept années d'emprisonnement au fort de Fénestrelle. Nous aurions pu ensemble co-signer votre biographie et de votre expérience nous en aurions tiré un roman, un scénario, un film, un documentaire, et bien d’autres choses encore. Co-signer un ouvrage avec un «revenant», cela aurait été des plus cocasse. Cela aurait constitué une première dans l’histoire de l’humanité. Que n’aurais-je sacrifié pour mériter votre confiance, pour que, revenant du fin fond de ce 19ème siècle de toutes les peurs, les espoirs, les crimes, nous conversions comme deux vieux amis et que vous m’avouiez vos responsabilités, vos innocences, vos complicités, vos compromissions, vos crimes, votre rédemption ? Nous aurions ri, pleuré ensemble et j’en aurais acquis la conviction que derrière cet homme, dont la vie fut si violente, se cachait une âme ni plus coupable ni plus sainte qu’une autre, mais qui, perdant confiance dans les institutions de son époque, a décidé de se faire justice lui-même. À vous revoir en songe, Monsieur Picaud, à vous revoir...